De nombreux écologistes – militants, écologistes, élus... – sont attaqués ces derniers mois. Une flambée de violences attisée par l’État.
À partir de 2025, les réseaux 2G et 3G vont peu à peu s’éteindre. De quoi provoquer un énorme gaspillage, de nombreux équipements étant concernés : téléphones, voitures et même les ascenseurs.
Lors des manifestations du 25 mars contre les mégabassines à Sainte Soline (Deux Sèvres) et du 28 mars dans toute la France contre la réforme des retraites, les forces de l’ordre ont durement réprimé les manifestants, faisant des centaines de blessés, dont plus de 200 à Sainte Soline. Tout au long de la semaine, alors que Amnesty international, Human rights watch, l’ONU ou le Conseil de l’Europe alertaient sur un recours excessif à la force de la part du gouvernement français, les macronistes multipliaient mensonges et approximations.
Il est extrêmement curieux et dommageable que la commission des lois ait oublié qu'elle devait aussi faire du droit.
Un nouveau phénomène mondialisé : une police suréquipée face à des foules furieuses et sans défense qui brandissent leurs téléphones portables pour tout enregistrer. La guerre des images sur les médias sociaux polarise encore plus la police et les manifestants.
Ce mercredi 5 avril, le ministre de l’Intérieur va devoir s’expliquer sur l’emploi de la force par les policiers et gendarmes lors des affrontements de Sainte-Soline et lors des manifestations contre la réforme des retraites. Mais en attendant sa prise de parole à l’Assemblée, c’est sur le terrain du terrorisme que Gérald Darmanin a été interpellé. Ayant évité le débat avec les élus, envoyant son ministre délégué, il n’a pas pu fuir devant les parlementaires lors de la session de questions dans l’Hémicycle.
« Est-ce que vous condamnez les violences ? » Vous avez sûrement entendu cette question, posée sur les plateaux de télévision à des gens de gauche pour leur demander de s’exprimer les terribles dégradations commises par des casseurs lors des manifestations. En revanche, on entend beaucoup moins les interrogations des éditorialistes sur les violences policières, et sur le changement de régime que nous sommes peut-être en train de vivre.
Le chef de l'État français entamera mercredi 5 avril son voyage en Chine. Mais pas seul, en compagnie d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Faut-il voir dans ce duo la fin de la singularité gaulliste en matière de politique étrangère ou la concrétisation d’une « souveraineté européenne » ?
Nom de code : Linux (anglais : The Code, titre de la version originale) est un film documentaire de Hannu Puttonen datant de 2002 qui retrace l'histoire des mouvements GNU, Linux, open source et des logiciels libres et dans lequel plusieurs personnalités de l'informatique sont interviewées, comme Linus Torvalds, Alan Cox, Richard Stallman, Theodore Ts'o ou Eric S. Raymond.
Le film s'achève par cette assertion : « Ce serait peut-être l'une des plus grandes opportunités manquées de notre époque si le logiciel libre ne libérait rien d'autre que du code. »
Sujet consacré au Ministère de la Défense et au contrat "Open Bar" passé avec Microsoft. Elise Lucet et l'équipe de «Cash investigation» ont posé leurs valises à Nice pour enquêter sur le grand stade de la ville, construit par le géant Vinci et voulu par le maire de l'époque, Christian Estrosi. Ce chantier représente un budget énorme, pour un équipement sportif surdimensionné. La rédaction a par ailleurs eu accès à des documents confidentiels sur le contrat passé entre le ministère de la Défense et Microsoft. Le leader mondial de l'informatique équipe désormais 200 000 ordinateurs de l'armée française. Un choix coûteux pour les finances publiques et très périlleux pour la sécurité nationale. Dans ce numéro, «Cash investigation» enquête également sur l'une des dernières formes de sous-traitance au privé. Aujourd'hui, l'avenir de centaines de milliers de chômeurs est entre les mains d'organismes privés.
Nothing to Hide est un documentaire franco-allemand de Marc Meillassoux et Mihaela Gladovic, qui s'intéresse aux effets de la surveillance de masse sur les individus et la société. Plus d'informations sur ce documentaire : https://fr.wikipedia.org/wiki/Nothing_to_Hide
"Nos libertés sont en train de s'évaporer sous nos yeux", s'alarme une jeune chercheuse hongkongaise. Tous les jours, les données personnelles que chacun laisse sur les outils gracieusement mis à sa disposition par les Gafam - messageries instantanées, réseaux sociaux, navigateurs, moteurs de recherche, services de cartographie en ligne et de géolocalisation... - fragilisent le droit à la vie privée. À de divers degrés, l'activité numérique expose à de multiples risques : hacking, espionnage commercial, policier ou étatique, cyberharcèlement. Dès lors, comment échapper en ligne à la surveillance et à la malveillance ?