Le chef de l'État français entamera mercredi 5 avril son voyage en Chine. Mais pas seul, en compagnie d’Ursula von der Leyen, la présidente de la Commission européenne. Faut-il voir dans ce duo la fin de la singularité gaulliste en matière de politique étrangère ou la concrétisation d’une « souveraineté européenne » ?