Les images de CRS passifs et semblant protéger des néo-fascistes armés et masqués aux prises avec des manifestants ont semé le trouble : des policiers d'extrême droite seraient-ils en train de se lâcher avec la possibilité que leur camp accède au pouvoir ? Certains, dans les forces de l'ordre, dénoncent la prégnance d'idées racistes et xénophobes. Le plus souvent sous couvert d’anonymat : les lanceurs d'alerte sont ostracisés et subissent des pressions.