L’armée israélienne a intensifié ses bombardements meurtriers pendant les fêtes de Noël. Pour l’État d’Israël, pas de trêve de fin d’année, les assassinats planifiés de civils, la famine et les ruines doivent continuer coûte que coûte, la paix ne fait pas partie de son idéologie colonialiste et guerrière. La fraternité et la concorde sont ennemies de l’État israélien et de son gouvernement, ils préfèrent la poursuite des massacres et de la colonisation qui préparent d’autres massacres.
Pendant ce temps, l’intox et les mensonges continuent dans les médias des dominants. En fRance c’est la déferlante de l’extrême droite et du colonialisme à la télé. À Lyon, le colonialisme israélien fait salon, et ce sont des porteurs de pancartes protestataires qui sont arrêtés.
Via sa fondation philanthropique domiciliée en Suisse, le couple Patrick et Lina Drahi s’est engagé à verser 7,7 millions de dollars au gouvernement israélien pour financer la construction d’un centre de remise en forme pour les soldats de Tsahal. Un don à l’adresse d’une armée étrangère au statut fiscal incertain, en France comme dans le Valais. Révélations.
Des documents issus d'une fuite informatique éclairent les stratégies fiscales auxquelles se livre en Suisse le milliardaire franco-israélien Patrick Drahi, qui semble préférer payer des avocats que des impôts. Déménagements successifs, séparation d'avec sa femme qui ne convainc pas les impôts, tentatives d'importation temporaire de son incroyable collection de tableaux, activités de sa fondation à but en principe non lucratif. Sa vie entière semble gérée par deux family offices, dans une perspective d'optimisation. L'ironie de l'histoire étant que celui qui s'est installé en Suisse pour échapper au fisc français a fini par s'attirer les foudres... du fisc suisse.