Le Studio Ghibli, connu notamment à travers les œuvres de Hayao Miyazaki, n’est pas le Disney japonais, mais l’anti-Disney. Conçus par des animateurs issus du mouvement communiste japonais, ses films célèbrent le travail créatif et la solidarité humaine contre le capitalisme et la guerre.
Et si c’était les pauvres qui détenaient la clé de notre avenir ?
C’est ce que pressent, pour l’avoir constaté, l’auteur et diplomate iranien Majid Ranhema.