«La mort n’éblouit pas les yeux des partisans». Ainsi Louis Aragon rendait-il hommage en 1955 dans son poème «Strophes pour se souvenir» à Missak Manouchian et aux 22 résistants fusillés le 21 février 1944 au Mont Valérien. Ces résistants appartenaient au groupe des FTP-MOI, les Francs tireurs et partisans de la main-d’œuvre immigrée, dont Léon Landini était le dernier survivant. Il est mort ce dimanche 21 septembre, à l’âge de 99 ans.