L’Agence régionale de Santé de Mayotte a annoncé fin mars que des stérilisations seraient proposées aux jeunes mères. Si le directeur de l’ARS justifie cela par une croissance démographique inédite, pour la vice-présidente de la Ligue des droits de l’homme, il ne s’agit de rien d’autre que d’une proposition sexiste visant à exercer un contrôle sur les femmes vulnérables.
Pour Mayotte, la loi Asile de 2018 avait déjà confirmé la préférence nationale et modifié le droit du sol dans l'indifférence générale. La délinquance juvénile devient incontrôlable. Dorénavant le couple Macron-Borne généralise une politique de chaos. S’estimant entravé par la rigueur du droit, il tente de neutraliser le pouvoir judiciaire. L’île lointaine annonce des jours bien sombres.