Donc, on ne lâchera jamais Blanche Gardin. Dans "Télérama", l'humoriste, mélancolique et un peu dépressive, racontait voici quelques semaines comment l'épisode de son fameux sketch visant les abus de l'accusation d'antisémitisme avait ""éteint son clown"". En passant, elle décochait une nouvelle flèche contre sa collègue Sophia Aram, qui ""a choisi son camp, celui du pouvoir"". Ladite Sophia Aram répondait dix jours plus tard, dans une longue "lettre ouverte" aux deux journalistes de "Télérama", autrices de l'entretien.
Tout a-t-il été dit ? Non. Ce week-end, sur Instagram, dans un texte aux accents douloureux, c'est au tour de Claude Askolovitch, titulaire de la revue de presse de "France Inter", de prendre la défense d'Aram, sa camarade de la Matinale.