Lors d'une audition au Sénat, le ministre de l'Enseignement supérieur a voulu relativiser la crise budgétaire des universités, alors que deux-tiers des facs françaises ont fini en déficit en 2025, au détriment des étudiants et personnels. Une déclaration qui annonce de nouvelles coupes budgétaires, et sert à masquer un projet d'attaque d'ampleur contre le droit à étudier.